Le point de vue de la science (suite)
Les exigences de la science au XXIe siècle
La science du XXIe siècle exige des preuves et des explications scientifiques pour répondre à la question : "Comment ça marche ?". Elle n'accepte qu'un unique modèle scientifique pour mener les recherches et qu'une seule explication physico-chimique pour valider l'action d'une méthode thérapeutique.
Or, aujourd'hui, nombreuses sont les expérimentations scientifiques qui apportent la preuve de la relation entre la maladie et l'accumulation des pensées et émotions négatives. Elles donnent raison aux expressions populaires telles que "se faire de la bile ou du mauvais sang, être mal dans sa peau, avoir la tête à l'envers, en avoir plein le dos..." La perturbation de la circulation de notre énergie vitale peut effectivement déclencher des maladies. Ainsi nous pouvons constater qu'il est possible d'agir directement sur notre santé et notre bien-être grâce à une prise de conscience et une action en amont, au moment où nos états émotionnels se manifestent.
Quel procédé scientifique est à l’œuvre dans la méthode des fleurs de Bach ?
Le mécanisme d'action des fleurs de Bach demeure un mystère, même si de nombreuses hypothèses tentent de démontrer l'importance des conjectures physique et magnétique plutôt que celles relevant de la chimie : "Ceci ne repose pas sur la chimie physique des feuilles et des fleurs, mais sur les propriétés d'une énergie subtile à l'intérieur d'un végétal - une sorte de conscience ou d'esprit de ce végétal que nous avons oubliées ou avec laquelle nous avons perdu contact".
Rupert Sheldrake a développé une théorie des champs morphogénétiques, selon laquelle, en simplifiant à l’extrême, tout être vivant, quel que soit son règne d'appartenance, émet un champ électromagnétique spécifique ("train d'ondes de formes spécifiques"). Néanmoins, il peut être illusoire ou dangereux d'essayer d'appliquer une théorie physique pour tenter de prouver à tout prix la validité de cette méthode mise au jour par Bach, tout aussi séduisante et cohérente qu'elle puisse paraître. Ainsi, avec les connaissances scientifiques actuelles, nul ne peut encore prétendre l'expliquer.
Toute fois, des preuves existent de ces champs électromagnétiques, qui ont montré concrètement, à l'aide d'un procédé spécial de la photographie, l'action restructurante et unifiante de fleurs de Bach appropriées à l'humeur de personnes souffrant, par exemple, de phénomènes inflammatoires au niveau des articulations des mains. Les champs électromagnétiques désorganisés, ou même parfois vidés par le phénomène inflammatoire, sont réorganisés par la prise de la fleur précisément nécessaire à cette personne.
Vers une reconnaissance scientifique au XXIe siècle ?
Le travail réalisé par le Dr Horacio Watman à propos de l'action de "L'étoile de Bethléem" et "Impatient" sur des patients psychotiques tente également de prouver la validité de ces théories sur l'action des champs magnétiques.
Des études cliniques sur les fleurs de Bach en cours dans plusieurs endroits du monde, ainsi que de nouvelles données (dont la physique quantique) devraient apporter bientôt, dans la littérature scientifique, de nombreuses réponses, sous réserve de renoncer au seul modèle scientifiquement accepté dans la recherche actuelle...
Aujourd'hui, il est difficile d'inventer et de faire accepter de nouveaux modèle reproductibles qui tiennent compte de deux réalités-clés : l'individualisation d'une part, condition nécessaire à l'action des fleurs, et, d'autre part, l'interaction dynamique avec l'environnement.
Des chercheurs, parmi les scientifiques eux-même, comme Madeleine Bastide et Agnès Lagache, dans le domaine de l'homéopathie, George Engel, dans celui de la psychologie, travaillent dans ce sens.
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